BURKINA FASO : LE CALVAIRE DES DÉPLACÉS DU JIHADISME

"On n'a plus rien mais mieux vaut être vivant ici que de rester à Djibo et mourir".

Belem Boureima, agriculteur septuagénaire, a dû quitter son village, avec sa famille de 43 personnes, comme 300.000 déplacés qui ont fui les violences jihadistes dans le nord et l'est du Burkina Faso.

Client

AFP
(Agence France Presse)

THÈME

Sécurité

ANNÉE

2019

réseaux sociaux